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Bordeaux - Saint-Emilion Grand Cru AOP - Rouge
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Jardins de Soutard 2014 : Jolie robe, teinte rubis, avec reflets violacés dans la jeunesse. Le nez concentre des notes de fruits rouges, large palette aromatique avec notamment des arômes de vanille, de cuir. La bouche est puissante et séduisante à la fois, rondeur présente. Accords mets & vin: Avec une entrecôte grillée à la bordelaise, une viande en sauce, un gibier, une poêlée de cèpes.
Quantité | Prix | Vous économisez |
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6 | 21,38 € | Jusqu'à 6,75 € |
Région | Bordeaux |
Appellation | Saint-Emilion Grand Cru |
Couleur | Rouge |
Millésime | 2014 |
Volume | 75cl |
Degré d'alcool | 13,0% |
Allergène(s) | Sulfites |
Classement | 2nd Vin du Château |
Cépage | 70% Merlot, 30% Cabernet Franc |
Oeil | Une robe dense aux reflets rubis. |
Nez | Un bouquet séduisant et corsé sur les fruits rouges et des épices. |
Bouche | En bouche, de la rondeur, de la puissance et une touche de fraîcheur en finale. |
Temps de garde | Entre 4 et 25 ans |
Température de service | Entre 15 et 16 °C |
Fermeture | Bouchon |
Délai de livraison | Livraison 2 à 5 JOURS |
Chateau Soutard : Soutard est le nom d'un lieu-dit très ancien qui appartenait à Jean Combret de Faurie. Passionné de viticulture, Jean Combret entreprend durant la seconde moitié du XVIIIème siècle des travaux considérables pour cultiver la vigne. Ce travail témoigne de « l'effort colossal dont étaient capables les vignerons du XVIIIème siècle pour donner quelque valeur à un sol qui ne pouvait pas donner d'autres cultures ». Jean Combret fait également édifier le château. Il meurt en 1804 et son neveu, Jacques Combret de Milon, hérite de ses biens. Ce dernier revend le 13 juillet 1811 la propriété à Jean Laveau qui règne déjà sur de nombreux vignobles. Il fut pendant un quart de siècle l'un des plus importants viticulteurs de Saint-Emilion. Jean Laveau disparaît sans héritier direct en 1836 et ses terres sont réparties dans sa proche parenté. Jeanne du Foussat de Bogeron, héritière du domaine par sa mère, apporte Soutard en dot quand elle épouse en 1919 Michel des Ligneris, ingénieur agronome, qui prend alors en charge la propriété. Leur fils, Jacques des Ligneris, après être resté 40 ans au service de Soutard, a laissé à son fils François la conduite du domaine dont il partage la propriété avec ses soeurs Isabelle et Hélène.